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法语字母歌歌词

Transcription des chansons歌词Leçon 1 : L’alphabet françaisA B C D E F GH I J K L M N O PQ R S T U VW X Y et ZV oilà l’alphabet françaisMaintenant peux-tu compter ?Un deux trois quatre cinq et sixSept et huit neuf et dixOnze douze treize quatorze et quinzeSeize dix-sept dix-huit dix-neuf et vingtJe peux épeler et compterIl fait bon de s’amuserLeçon 2 : C’est la Mère MichelC’est la Mère Michel qui a perdu son chatQui crie par la fenêtre à qui le lui rendraC’est le père LustucruQui lui a répondu« Allons la mère Michel votre chat n’est pas perdu »Sur l’air du tra la la laSur l’air du tra la la laSur l’air du tra de ri de raEt tra la laC’est la mère Michel qui lui a demandé«Mon chat n’est pas perdu vous l’avez donc trouvé ? »C’es t le père Lustucru qui lui a répondu« Donnez une récompense il vous sera rendu »Sur l’air du tra la la laSur l’air du tra la la laSur l’air du tra de ri de raEt tra la laC’est la mère Michel lui dit : «C’est décidé,Rendez-moi donc mon chat, vous aurez un baiser. »Mais le père Lustucru qui n’en n’a pas vouluLui dit : «La mère Michel votre chat je ne l’ai pas vu »Sur l’air du tra la la laSur l’air du tra la la laSur l’air du tra de ri de raEt tra la laLeçon 3 : Il pleut, bergèreIl pleut, il pleut, bergèrePresse tes blancs moutonsRentrons à ma chaumièreBergère, vite, allonsT’entends sur le feuillageL’eau qui tombe à grand bruitV oici venir l’orageV oilà l’éclair qui luit Entends-tu le tonnerreIl gronde en approchant Prends un abris, bergèreÀ ma droite en marchant Je vois notre cabaneEt tiens voici venirMa mère et ma sœur Anne Qui vont l’étable ouvrirBonsoir, bonsoir ma mère Ma sœur Anne bonsoirJ’amène ma bergèrePrès de vous pour ce soir Va te sécher, ma mieAuprès de nos tisonsSœur, fais-lui compagnie Entrez, petit moutonIl pleut, il pleut, bergère Presse tes blancs moutons Rentrons à ma chaumière Bergère, vite, allonsLeçon 4 : Le coucouDans la forêt lointaineOn entend le coucouDu haut de son grand chêne Il répond au hibouCoucou, coucou, coucoucoucoucou Coucou, coucou, coucoucoucoucouLeçon 5 : Le papillonPourquoi les poules pondent des œufs ? Pour que les œufs f assent des poules Pourquoi les amoureux s’embrassent ? C’est pour que les pigeons roucoulent Pourquoi les jolies fleurs se fanent ? Parce que ça fait partie du charme Pourquoi le diable et le bon Dieu ? C’est pour faire parler les curieuxPourquoi le feu brûle le bois ?C’est pour bien réchauffer nos corps Pourquoi la mer se retire ?C’est pour qu’on lui dis e « encore »Pourquoi le soleil disparaît ?Pour l’autre partie du décorPourquoi le diable et le bon Dieu ? C’est pour faire parler les curieuxPourquoi le loup mange l’agneau ? Parce qu’il faut bien se nourrir Pourquoi le lièvre et la tortue ?Parce que rien ne sert de courir Pourquoi les anges ont-ils des ailes ? Pour nous faire croire au Père Noël Pourquoi le diable et le bon Dieu ? C’est pour faire parler les curieuxÇa t’a plu, le petit voyage ?Ah oui, beaucoup.On a vu de belles choses, hein ?J’a urais bien voulu voir des sauterellesDes sauterelles ? Pourquoi des sauterelles ?Et des libellules aussiA la prochaine fois, d’accordD’accord. Je peux te demander quelque chose ? Quoi encore ?On continue mais cette fois-ci, c’est toi qui chantes Pas questionS’il te plaîtNon, non, et nonAllez, c’est le dernier coupletTu ne crois pas que tu pousses un peu le bouchon ?Pourquoi notre cœur fait tic-tac ?Parce que la pluie fait fil flacPourquoi le temps passe si vite ?Parce que le vent lui rend visitePourquoi tu me prends par la main ?Parce qu’avec toi je suis bienPourquoi le diable et le bon Dieu ?C’est pour faire parler l es curieuxLeçon 6 : Aux Champs-ÉlyséesJe me baladais sur l’avenueLe cœur ouvert à l’inconnuJ’avais envie de dire bonjo urÀ n’importe quiN’importe qui et ce fut toiJe t’ai dit n’importe quoiIl suffisait de te parlerPour t’apprivoiserAux Champs-ÉlyséesAux Champs-ÉlyséesAu soleil, sous la pluieÀ midi ou à minuitIl y a tout ce que vous voulez Aux Champs-ÉlyséesTu m’as dit : «J’ai rendez-vous Dans un sous-sol avec des fous Qui vivent la guitare à la main Du soir au matin »Alors je t’ai accompagnéeOn a chanté, on a danséEt l’on n’a même pas penséÀ s’embrasserAux Champs-ÉlyséesAux Champs-ÉlyséesAu soleil, sous la pluieÀ midi ou à minuitIl y a tout ce que vous voulez Aux Champs-ÉlyséesHier soir deux inconnusCe matin sur l’avenueDeux amoureux tout étourdisPar la longue nuitEt de l’Étoile à la ConcordeUn orchestre à mille cordesTous les oiseaux du point du jour Chantent l’amourAux Champs-ÉlyséesAux Champs-ÉlyséesAu soleil, sous la pluieÀ midi ou à minuitIl y a tout ce que vous voulezAux Champs-ÉlyséesLeçon 7 : Dur d’être bébéC'est dur dur d’être bébéOh là là bébé ! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé! C’est dur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéJe m’appelle JordyJ’ai quatre ans et je suis petitDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéViens ici !Touche pas ça !Reste assis !Va pas là !Fais comme ci, fais comme ça !Patati et patata !Pourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme ciPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme çaPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme ciPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme çaOh là là bébé! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé! Dur dur d’être bébéOh là là bébé! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé! Dur dur d’être bébéBébé, bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéEt maman, qu'est-ce que tu dis ?Fais dodo !Lave tes dents !Enlève tes doigts du nez !Fais pas ci, fais pas ça !Patati et patata !Pourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme ciPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme çaPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme ciPourquoi ci, pourquoi çaPourquoi c’est comme çaOh là là bébé! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé! Dur dur d’être bébéOh là là bébé! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé! Dur dur d’être bébéBébé, bébéReste assis ! Pas d’accord !Touche pas ça ! Pas d’accord !Va pas là ! Pas d’accord !T’auras pas de dessert !Et mamie, et papi, et mamanC’est dur dur d’être bébéOh là là bébé !Oh là là bébé !Oh là là bébé ! C’est dur dur d’être bébéOh là là bébé ! C’est dur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéDur dur d’être bébéC’est dur dur d’être bébéC’est dur dur d’être bébéC’est dur dur d’être bébéOh là là bébé !Leçon 8 : FamilialLa mère fait du tricotLe fils fait la guerreElle trouve ça tout naturel, la mèreEt le père ?Qu’est-ce qu’il fait, le père ?Il fait des affairesSa femme fait du tricotSon fils la guerreLui des affairesIl trouve ça tout naturel, le pèreEt le fils ? Et le fils ?Q u’est-ce qu’il trouve, le fils ?Il ne trouve rien!Absolument rienLe fils, le filsSa mère fait du tricot, son père des affaires Lui la guerreQuand il aura fini la guerreIl fera des affaires avec son pèreLa guerre continueLa mère continue, elle tricoteLe père continue, il fait des affairesLe fils est tuéIl ne continue plusLe père et la mère vont au cimetièreIls trouvent ça tout naturelLe père et la mèreLa vie continueLa vie avec le tricot, la guerre, les affairesLes affaires, la guerre, le tricotLa guerre, les affaires, les affaires et … les affairesLeçon 9 : Jacobi marchaitJacobi avait dit : c’est fini, j’en ai marre, mercredi je parsDans le ciel indécis flottaient de gros nuages gris pourtant Jacobi est partiMarcher de midi à minuitMarcher à tout jamaisMarcherJacobi marchaitBientôt les premières gouttes sont tombées sur la route et puis la pluie a redoubléCoûte que coûte Jacobi continuait pas à pas à avancerDu Nord à l’Est, du Sud à l’Ouest Jacobi cherchait le paradisUn coin àl’abri avec un lit, un bol de riz, Jacobi disait : ça me suffitMarcher de midi à minuitMarcher à tout jamaisMarcherJacobi marchaitUn jour il a changé d’avis, peut-être qu’il a compris ou bien il n’en pouvait plus Jacobi est revenu, il a appelé Elie son meilleur ami, à qui il a dit :J’entendais une sonnerie qui faisait battre mon cœur à l’infiniC’était vraiment très fort, je devais dire ouipourtant je me demande encore ce qui m’a prisMarcher de midi à minuitMarcher à tout jamaisMarcherJacobi marchaitLeçon 10 : Votre toast je peux vous le rendreVotre toast, je peux vous le rendreSeñors, Señors, car avec les soldatsOui les toreros peuvent s’entendrePour plaisir, pour plaisirIls ont les combats !Le cirque est pleinC’est jour de fêteLe cirque est plein du haut en basLes spectateurs, perdant la têteLes spectateurs s’interpellent à grands fracas !Apostrophes, cris et tapageP oussés jusqu’à la fureurCar c’est la fête du courageC’est la fête des gens de cœurAllons ! En garde ! Allons ! Allons ! Ah !Toréador, en garde ! Toréador ! Toréador !Et songe bien, oui, songe en combattantQu’un œil noir te regarde !Et que l’amour t’attendToréador, l’amour l’amour t’attendToréador, en garde ! Toréador ! Toréador !Et songe bien, oui, songe en combattantQu’un œil noir te regarde !Et que l’amour t’attendToréador, l’amour l’amour t’attendTout d’un coup on fait silence, on fait silence Ah ! que se passe-t-il ?Plus de cris, c’est l’instantPlus de cris, c’est l’instantL e taureau s’élanceEn bondissant hors du toril !Il s’élance, il entre il frappeUn cheval rouleEn trainant un picadorAh ! bravo ! Taureau ! hurle la fouleLe taureau va, il vientIl vient et frappe encore !En secouant ses banderillesPlein de fureur, il court !Le cirque est plein de sang !On se sauve on franchit les grillesC’est ton tour maintenant,Allons ! En garde ! Allons ! Allons ! Ah ! Toréador, en garde ! Toréador ! Toréador ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu’un œil noir te regarde !Et que l’amour t’at tendToréador, l’amour l’amour t’attendToréador, en garde ! Toréador ! Toréador ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu’un œil noir te regarde !Et que l’amour t’attendToréador, et l’amour l’amour t’attendL’amour! L’amour !L’amour! L’amour !L’a mour ! L’amour !Toréador, Toréador, l’amour t’attend!Leçon 11 : AutomneColchiques dans les prés fleurissent, fleurissent Colchiques dans les prés, c’est la fin de l’étéLa feuille d’automneEmportée par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnantNuages dans le ciel s’étirent, s’étirentNuages dans le ciel s’étirent comme une aileLa feuille d’automneEmportée par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnantChâtaignes dans les bois se fendent, se fendent Châtaignes dans les bois se fendent sous nos pas La feuille d’automneEmportée par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnantEt ce chant dans mon cœur murmure, murmure Et ce chant dans mon cœur murmure le bonheur La feuille d’automneEmportée par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnantLeçon 12 : Le tournesolLe tournesol, le tournesolN’a pas besoin d’une boussoleNi d’arc-en-ciel, ni d’arc-en-cielPour se tourner vers le soleilLe tournesol, le tournesolN’a pas besoin d’une boussoleAlors ma belle, alors ma belleRegarde un peu vers le soleilVoilà le discoursD’un garçon qui mourait d’amourPour une demoiselleQui dormait tout le long du jourLe tournesol, le tournesolVers le soleil tourne le colMais toi Monsieur mais toi MonsieurTu ne sais que fermer les yeuxC’e st ce que chantaitUn oiseau qui parlait françaisA un anglican qui passait du côté de camp Le tournesol, le tournesolOuvre les plis de sa corolleEt le soleil et le soleilLui fait cadeau de ses merveillesUne fleur qui nous fait la leçonLe tournesol, le tournesolUne fleur qui nous fait une chansonLe tournesol, le tournesolLalala, lalalaLalala, lalalaLalala, lalalaLalala, lalalaLe tournesol, le tournesolN’a pas besoin d’une boussoleNi d’arc-en-ciel, ni d’arc-en-cielPour se tourner vers le soleilLeçon 13 : Vive le ventVive le vent, Vive le vent, Vive le vent d’hiverQ ui s’en va sifflant soufflantDans les grands sapins vertsOh, vive le temps, vive le temps, vive le temps d’hiver B oules de neige et Jour de l’AnEt bonne année grand-mèreSur le long chemin tout blanc de neige blancheUn vieux monsieurS’avance avec sa canne dans la mainEt tout là-haut le vent, qui siffle dans les branches Puis souffle la romance qu’il chantait petit enfantOh vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiv erQui s’en va sifflant soufflantDans les grands sapins vertsOh vive le temps, vive le temps, vive le temps d’hiverB oules de neige et Jour de l’AnEt bonne année grand-mèreJoyeux joyeux Noël aux mille bougiesQuand chantent vers le cielLes cloches de la nuitOh vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiverQ ui rapporte aux vieux enfants leur souvenir d’hierQ ui rapporte aux vieux enfants leur souvenir d’hierLeçon 14 : Le poinçonneur des LilasJe suis le poinçonneur des LilasLe gars qu’on croise et qu’on n' regarde pasY a pas de soleil sous la terre, drôle de croisièrePour tuer l’ennui, j’ai dans ma vesteLes extraits du Reader’s DigestEt dans ce bouquin y a écritQue des gars se la coulent douce à MiamiPendant ce temps que je fais le zouaveAu fond de la caveParaît qu’il y a pas de sots métiersMoi je fais des trous dans des billetsJe fais des trous, des petits trous, encor des petits trous Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous Des trous de seconde classe, des trous de première classeJe fais des trous, des petits trous, encor des petits trousDes petits trous, des petits trous, toujours des petits trousDes petits trous, des petits trous, des petits trous, des petits trousJe suis le poinçonneur des LilasPour Invalides changer àl’OpéraJe vis au cœur d e la planèteJ’ai dans la tête un carnaval de confettisJ’en amène jusque dans mon litEt sous mon ciel de faïenceJe ne vois briller que les correspondancesParfois je rêve, je divague, je vois des vaguesEt dans la brume au bout du quaiJe vois un bateau qui vient me chercherPour sortir de ce trou, je fais des trousDes petits trous, des petits trous, toujours des petits trousMais le bateau se tailleEt je vois que je dérailleEt je reste dans mon trou à faire des petits trousDes petits trous, des petits trous, toujours des petits trousDes petits trous, des petits trous, des petits trous, des petits trousJe suis le poinçonneur des LilasArts et Métiers direct par LevalloisJ’en ai marre, j’en ai ma claque de ce cloaqueJe voudrais jouer la fille de l’airLaisser ma casquette au vestiaireUn jour viendra, j’en suis sûrOù je pourrai m’évader dans la natureJe partirai sur la grand-routeEt coûte que coûteEt si pour moi il est plus tempsJe partirai les pieds devantJe fais des trous, des petits trous, encor des petits trous Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trousY a de quoi devenir dingueDe quoi prendre un flingueSe faire un trou, un petit trou, un dernier petit trouUn petit trou, un petit trou, un dernier petit trouEt on me mettra dans un grand trouEt je n’entendrais plus parler de trous, plus jamais de trous De petits trous, de petits trous, de petits trousLeçon 15 : Sous le ciel de ParisSous le ciel de ParisS’envole une chansonElle est née d’aujourd’huiD ans le cœur d’un garçonSous le ciel de ParisMarchent des amoureuxLeur bonheur se construitSur un air fait pour euxSous le pont de BercyUn philosophe assisDeux musiciens, quelques badaudsPuis des gens par milliersSous le ciel de ParisJ usqu’au soir vont chanterL’hymne d’un peupleÉpris de sa vieille citéPrès de Notre-DameParfois couve un drameOui mais à PanameTout peut s’arrangerQuelques rayons du ciel d’étéL’accordéon d’un marinierL’Espoir fleuritAu ciel de ParisMais le ciel de ParisA son secret pour luiDepuis vingt siècles il est éprisDe notre île Saint-LouisQuand elle lui sourit il met son habit bleu Quand il pleut sur ParisC’est qu’il est malheureuxQuand il est trop jalouxDe ses millio ns d’amantsIl fait gronder sur nous son tonerre éclatant Mais le ciel de ParisN’est pas longtemp cruelPour se faire pardonner il offre un arc-en-cielLeçon 16 : L’amour est un oiseau rebelleL’amour est un oiseau rebelleQue nul ne peut apprivoiserEt c’est bien en vain qu’on l’appelleS’il lui convient de refuserR ien n’y fait, menace ou prièreL’un parle bien, l’autre se taitEt c’est l’autre que je préfèreI l n’a rien dit mait il me plaîtL’amour, l’amour, l’amour, l’amourL’amour est enfant de bohèmeIl n’a jamais, jamais connu de loiSi tu ne m’aimes pas, je t’aimeMais s i je t’aime, prends garde à toiSi tu ne m’aimes pasSi tu ne m’aimes pas, je t’aimeMais si je t’aimeSi je t’aime, prends garde à toiSi tu ne m’aimes pasSi tu ne m’aimes pas, je t’aimeEt si je t’aime, s i je t’aimePrends garde à toiL’oiseau que tu croyais surprendreBattit de l’aile et s’envolaL’amour est loin, tu peux l’attendreT u ne l’attentds plus il est làTout autour de toi vite, viteIl v ient, s’en va, puis il revien tTu crois le tenir, il t’éviteTu crois l’éviter, il te tientL’amour, l’amour, l’amour, l’amourL’amour est enfant de bohèmeIl n’a jamais, jamais connu de loi Si tu ne m’aimes pas, je t’aime Mais s i je t’aime, prends garde à toi Si tu ne m’aimes pasSi tu ne m’aimes pas, je t’aime Mais si je t’aimeSi je t’aime, prends garde à toiSi tu ne m’aimes pasSi tu ne m’aimes pas, je t’aimeEt si je t’aime, s i je t’aimePrends garde à toi。

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